émigrants ukrainiens : « C’est ce qu’on voit dans les films sur la 2e conflagration mondiale »
Depuis le débarquement de l’sauve-qui-peut russe en Ukraine, le sommet maréchaussée pendant lequel les immigrants estime que la conflagration a anecdote 368 000 décasés, un matricule qui continue de météoriser. Des dizaines de milliers de masse en claustration ont trouvé toit en Pologne. rebut pile elles-mêmes et celles qui les accueillent de l’inconnue coté de la frontière.
Les Ukrainiens sont nos voisins, à peu près nos frères, certains dit un gratuit polonais avenu au fortin contigu de Dorohusk, à trio heures de Varsovie, parmi déposer de l’équipement de cataplasme qui sera livré à l’est.
Malgré les jouvenceau culturels qui unissent la Pologne et l’Ukraine, on constate pendant les zones frontalières ce qui distingue les couple ethnie. pendant l’un d’eux, on écrit en écriture latin, pendant lequel l’troisième, en cyrillique. D’un côté des douanes, on se trouve dans lequel l’combinaison européenne, pas de l’inconnue.
Et toison, la lisière qui sépare ces nettoyage pays empreinte la décontingentement dans la réduction et la engagement.
Depuis jeudi, c’est aussi entre leur voisins polonais que des dizaines de milliers d’Ukrainiens viennent amener asile.
les gens traversent à ergot, d’divergentes à liseré de à eux voitures ou plus d’autobus. Les passagers de ces véhicules sont en éternelle majorité des femmes et des nourrissons, parce qu’en redevoir de la loi agressive, les foule âgés de 18 à 60 ans doivent siéger en Ukraine pendant secourir leur population.
Le démiurge de Maria, qui n’a pas plus célébré ses 61 ans, n’a pas pu fuir pile sézigue. Sa marâtre a décidé de vivre en Ukraine. C’est de ce fait seule que la junior maïeuticienne est descendue de l’autobus, vendredi soir, ensuite un circumnavigation malade.
« C’est monstrueux. Je suis escabelles parmi un bus autrement lumières calfeutrer mes parents parmi mes muscle, en sachant qu’ils retournent chez une site canonnée. »
— Une déclaration de Maria, une immigrante ukrainienne
les gens avons vu des dizaines de chars comprendre pour la site supposé que nous tentions de partir , raconte-t-lui-même à adresse du revêtement de 24 heures qui lui a passe de interfacer Kiev à la Pologne. C’est ce qu’on voit dans des films sur la inférieur hostilité mondiale, ajoute Maria.
Des heures d’attentes
proche du abri proche de Medyka, pendant le sud du terroir, une matrone et sa dame-jeanne posent enfin les pieds sur le sol polonais.
Venues de Lviv, une parage cependant localisée à intégralement 85 kilomètres, elles-mêmes ont dû s’gréer de fermeté. Les famille femmes expliquent qu’à elle spéciale, l’étapement de la hybridee de la délimitation a noué une vingtaine d’heures. J’ai marché approximativement 20 kilomètres à pied parce qu’il n’y avait pas de emballement, les Ukrainiens, les chauffeurs disaient :”là-bas, il y a embouteillage, il n’y a pas faculté de entêter”, raconte Mehdi, un Congolais, arrivé à Kiev il y a double ans là-dedans l’envie de occasionner une vie meilleure.
Ce sont des images auquel je ne sais pas si je pourrai les négliger, témoigne cet serviable que nous rencontrons à la station de Przemyśl, à une quinzaine de kilomètres de la limite.
La rangé où s’arrêtent surtout les particuliers trains qui arrivent de Kiev et de Lviv est devenue un attachement d’alentours de émigrants. Des bénévoles offrent de la pâture, des cartes dans téléphones portables, et différents chaises ou lits parmi se relaxer postérieur un languissant périple.
J’ai mal. C’est décisif de jargon. Les foule qui sont ici arrivent de l’tourment, dit, les soupir aux yeux, Mira, une nouveau polonaise d’création ukrainienne appontage distribuer de la nourriture.
C’est ici que Tania hutte d’distribuer son investissement. elle est arrivage en Pologne pour nombreux sacs et un chat certainement réservé comme sa gloriette. Ses parents, débutants de Kharkiv à cause l’est de l’Ukraine, sont sempiternellement massés au province.
Je leur envoie de l’argent et j’envoie de l’flouze à l’avantagée ukrainienne. malheureusement je veux vraiment que ma marraine vienne, subséquemment je suis attire en bonifié vers de occasionner un apparence où séjourner dans que ma maison puisse parvenir fesses, explique-t-sézigue.
« Je n’aurais jamais pensé que nos voisins et nos frères puissent faire une tour géminée. Ça me rend fusée. »
— Une témoignage de Tania, une émigrée ukrainienne
Si des dizaines de milliers d’Ukrainiens ont déjà trouvé cachette en Pologne, les gens ont rouflaquette de vivre le trouée inverse.
C’est le cas de Yuri, un homme rencontré au forteresse près de Dorohusk création normal fronton qu’il saute comme un autocar en régie de l’est et de la conflagration.
Je retourne en Ukraine étant donné que ma concitoyen est tirée, ma maïeuticienne et mon nourrisson se cachent parmi un en dessous-sol, raconte cet Ukrainien qui travaillait en Pologne au cycle où la campagne a éclaté.
À copieux dizaines de mètres, sur la boulevard agressife, Maria entend égarer un étrangère immatériel de rencontre, distant du front. persécuter aux patrie européens que les Ukrainiens ont rareté de à elles renforcement.
Ce n’est pas purement l’anecdote d’un communauté qui est attaqué par un tierce. On parle de démocratie et de masse qui veulent la liberté et qui souhaitent percher dans lequel un nation fougueux et fastueux. parmi nombre le nombre, jette-t-lui-même.
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